Revenons cependant aux Wallons et à leur pénétration des monts Karkonosze et Jizera (qui à un moment donné ont été étudiés encore plus intensivement) – ils sont devenus par inadvertance les précurseurs du leadership dans ce domaine, et même des précurseurs de "guides" écrits. Ce sont les livres dits wallons. Malgré le nom, il s'agissait de notes et de descriptions d'itinéraires et de lieux plutôt lâches, selon les auteurs, riche en minerai ou minéraux. Ils sont apparus vers le milieu du XVe siècle. Une / la première – connu sous le nom de Livre wallon de Wroclaw – par Antonius Wale, bien que certains croient, qu'Antonio Médicis lui-même pourrait se cacher sous ce nom. Au départ, il s'agissait de descriptions d'approches, sur la base des signes et objets caractéristiques existant dans la zone à ce moment-là. Au fur et à mesure que cette littérature se développait (ainsi que la concurrence croissante dans la profession) les descriptions commençaient à se compliquer, a pris le caractère d'un chiffre, compréhensible que pour les initiés, et même intentionnellement désinformer, il y a des fils de conte de fées sur des donjons cachés avec des trésors, les portes qui y mènent, gardant leurs pouvoirs secrets, sorts et contre-sorts, ça. Quoi qu'il en soit, même les descriptions simples sont incompréhensibles pour le lecteur moderne. Les auteurs devaient nécessairement donner leurs propres noms aux points de repère, parce que les montagnes ne l'avaient pas encore – à de très rares exceptions près, pas de noms topographiques. Dans les descriptifs, comme points caractéristiques, les arbres apparaissent, rochers, ruisseaux. Servi, qu'à certains endroits, ils étaient en outre marqués. Les auteurs d'ouvrages consacrés aux Wallons et leurs livres décrivent de tels signes. Seules quelques gravures rupestres ont survécu jusqu'à nos jours. Bien sûr, tous les signes coupés sur les arbres ont disparu depuis longtemps, et ceux de la roche dans de nombreux cas sont également devenus flous ou illisibles. Les plus célèbres sont les sculptures sur la Rock Table (zatarty), Rudziankach, Orla Skala à Szklarska Poręba (en fait déjà dans les montagnes de Jizera) et probablement le mieux conservé sur la pierre wallonne de Złoty Widok à Przesieka. Ces signes étaient très différents: les étoiles, lune (Soleil?), des croix, pioches et marteaux, sculptures de pieds et de mains, enfin, des flèches et des lettres. Ils étaient censés indiquer le chemin ou l'entrée cachée des endroits les plus riches. Avec un peu d'imagination et de bonnes intentions, ils pourraient être considérés comme les premiers signes touristiques.
L'exploration intensive par les Wallons a duré principalement aux XVe-XVIe siècles. Au 17ème siècle. ils doivent avoir déjà disparu des montagnes de Karkonosze, mais des histoires de prospection d'or, sur les trésors cachés et leur accès tout au long du XIXe siècle. et ont survécu presque jusqu'à nos jours, bien que les traces et les livres wallons eux-mêmes n'aient survécu que dans des descriptions et des copies.
A partir du 15ème siècle. les mineurs sont entrés dans les montagnes de Karkonosze, vitriers, poussiéreux, bergers, puis la population s'installant dans des villages en développement et occupant de plus en plus d'espaces sous terre arable. Cela a entraîné une pénétration intensive des zones environnantes, ainsi dépouillé de mystère et d'horreur. Forces secrètes, L'esprit des montagnes, des sorciers craintifs et des phénomènes similaires et des personnes ont dû se retirer profondément dans les montagnes. La période de "civilisation" des Karkonosze avait commencé, qui s'est produit ici plus tôt et s'est développé plus intensément que dans les autres chaînes des Sudètes, peut-être seulement en dehors de la région de Kłodzko.